dimanche 27 octobre 2013

Bonjour à tous,
Voila bien longtemps que je n'avais pas mis une photo "historique" de notre village.
Les photos sont rares...et le deviennent de plus en plus.
Cette photo montre plein de choses.... la gendarmerie déjà présente.... mais aucune bâtisse sur la plage ou pas de cimetière....et même.... une montagne sans foret !
Excellente vision...et j’espère à bientôt pour notre prochaine photo "anciennes" 

READ MORE -

Chetaibi : Le Chômage !

mercredi 14 novembre 2012




Commune de Chetaïbi : Le chômage dans le beau rivage :


Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte

La région de Chétaïbi semble acculée à l’expectative en l’absence d’investissements touristiques dignes de ce nom en mesure de mettre la machine du développement en marche. La promotion du tourisme est à même de soustraire la commune et ses environs à sa léthargie. La cité renferme des atouts et des potentialités encore inexploitées. Présentement, les maigres ressources  proviennent du port de pêche, dont la construction remonte à la période coloniale. Mais la perspective de relancer sérieusement l’activité de la pêche a imposé des aménagements importants. L’ensemble du port a été aménagé en 1990 et la grande jetée est en cours de renforcement. Chétaïbi fonde ses espoirs sur l’acquisition d’un autre port de pêche. En attendant que cette éventualité se concrétise, Chétaïbi a réuni les bases de la relance. Qui a vu cette splendide côte durant la saison estivale, peut difficilement imaginer qu’en dehors de cette période trépidante de vie, il n’y ait aucun horizon, aucune perspective pour les jeunes.

La commune compte 25 000 habitants, occupant une superficie de 134 km², le village a cassé l’isolement et est relié à Annaba via Berrahal. De même qu’il dispose d’un réseau routier  fort au total de  80 km. Le chômage y sévit plus que dans d’autres régions. Les débouchés sont entièrement absents. «Les jeunes dans leur quasi-majorité émargent dans le social et les différents dispositifs. Les plus chanceux parmi les artisans et autres détenteurs de métiers ont bénéficié de locaux réalisés dans le cadre du programme du Président de 100 locaux pour chaque commune», expliquent les quelques jeunes rencontrés sur place. Les trois maisons de jeunes et le centre culturel occupent un pan entier de la jeunesse. «A Chétaïbi, les besoins en logements s’expriment, certes, mais, la situation n’a rien à voir avec la crise que vivent les grandes villes. La population est d’autant plus gagnée par la paupérisation que les lots à bâtir n’ont pas trouvé preneurs», à en croire les responsables de cette commune. Les logements individuels n’ont pas suscité l’engouement des habitants de Chétaïbi, où le relief très accidenté et l’érosion des sols rendent très onéreuse toute construction.
A Chétaïbi, l’eau ne répond pas aux besoins notamment en été, où la population augmente substantiellement avec l’arrivée en force des estivants. Cela en attendant que le réseau très défectueux soit totalement rénové pour pouvoir acheminer l’eau à partir de Guerbès dans la wilaya de Skikda. Le parc roulant fort de 12 bus et une vingtaine de taxis est estimé satisfaisant d’autant plus que les déplacements vers et à partir de Annaba sont moins fréquents durant la journée. A Chétaïbi, l’on pense que l’avenir de toute la région est dans le développement de ses potentialités et qui ne sont pas moindres. La réhabilitation et la modernisation de l’activité de la pêche, la promotion du tourisme et la création d’une zone d’activité pour les créneaux non générateurs de pollution sont autant de priorités hiérarchisées par les responsables locaux.        
A. S.

READ MORE - Chetaibi : Le Chômage !

Chetaibi : 2 décés

mardi 24 juillet 2012


Chetaibi : Affluence record de touristes et s'estivants

Fi Annaba ya baba!

chetaibi


Avec l’arrivée du mois de Ramadhan en plein été, jamais Annaba n’a connu un rush d’estivants et de touristes aussi important que celui enregistré en moins de deux mois cet été.
Près de 3 millions d’entre eux y ont effectué un séjour, attirés par l’ambiance quotidienne, de jour comme de nuit, assurée par les décibels de la musique, les couleurs et les lumières. Depuis le 10 juin, date de l’ouverture officielle de la saison estivale, cette ambiance a frappé lourdement aux portes du Cours de la Révolution, du boulevard du 1er Novembre avec son prolongement jusqu’à la plage Rizzi Amor et du petit port de pêche de la Grenouillère, jusqu’au cap de garde en passant par les majestueux complexe hôtelier «Sabri», le Club Bouna Beach et leur ambiance bon enfant. L’on se rend en ces lieux pour une longue promenade amoureuse avec sa bien-aimée ou en famille, pour y goûter des glaces de bonne qualité ou des pizzas, bourek annabi, pâtisseries et étancher sa soif avec des boissons fraîches fruitées ou sodas.  
Le cortège de voitures rutilantes ou brinquebalantes avec des immatriculations de toutes les régions du pays et de plusieurs pays d’Europe ressemble beaucoup plus à un cortège d’espoirs, de réalités et d’incertitudes de tous ordres propres à cette ville millénaire. L’on a l’impression que tout le monde se rend au cap de garde via la plage Fellah Rachid (ex-Saint Cloud), Rizzi Amor (ex-Chappuis), La Caroube, Refès Zahouane (ex-Tôche), Aïn Achir, le vivier comme pour se ressourcer dans la perspective d’une nouvelle année.

Avec son atypisme, ses cachets algérien, africain et méditerranéen, Annaba est tout à la fois, décriée et enviée dans sa réussite à marier la tradition à la modernité. Cette arrivée massive des estivants et des touristes chaque jour plus nombreux pour partir à la conquête des plages, du Cours de la Révolution, des boulevards, des cités, des quartiers, des rues et des ruelles est significative de cette poussée de fièvre que l’on sent dans l’animation estivale.
C’est en quelque sorte un ancrage qui, tout en nous contant l’histoire de Annaba, son habillement traditionnel, son histoire, sa jeunesse et sa richesse culturelle, nous rappelle à ses origines, mais aussi à son avenir indissociable depuis toujours de celui de l’Algérie. Ainsi, à l’heure où les pieds-noirs natifs de Bône, Souk Ahras, Guelma, Tébessa revivent dès leur arrivée sur le port ou à l’aéroport Rabah Bitat la beauté du paysage d’un département qu’ils ont quitté voilà 50 ans, Seraïdi, le village haut juché sur l’Edough, ne trouve plus le sommeil. Seraïdi est en fait une carte maîtresse dans la perspective du développement touristique. Il est constitué d’une situation géographique et climatique privilégiée, un environnement préservé et d’une grande richesse culturelle et architecturale qu’embellit davantage l’hôtel El Mountazah de renommée internationale. Sur le même prolongement, toujours au cœur de l’Edough et collé à la grande bleue, il est un village dont le seul nom fait rêver : Chetaïbi. 
Il s’agit d’un lieu qualifié comme étant la plus belle baie du monde. Mais, l’absence de tout hôtel et de restaurant digne de ce nom freine l’envie à beaucoup de candidats au farniente de s’y rendre. Cet été 2012, Annaba s’est faite plus belle encore que les précédentes années. Sa corniche ressemble à l’ Eldorado tant vanté au point où l’on oublie parfois que l’on est en terre algérienne avec ses crises multiples, ses catastrophes, ses pleurs et ses larmes. Les estivants se baignent en toute sécurité sous l’œil vigilant de la protection civile. Cette dernière a effectué 2968 interventions depuis l’ouverture de la saison estivale, contre 3655 interventions durant la même période en 2011, soit 697 interventions de moins.
«C’est le strict respect des consignes de sécurité qui a minimisé les risques des noyades», explique le premier responsable de la protection civile de Annaba. Enfin, si aucune noyade mortelle n’a été enregistrée au niveau d’une vingtaine de plages surveillées, l’on déplore néanmoins la mort, à Chetaïbi, de deux personnes, dont un jeune gendarme, dans des zones rocheuses interdites à la baignade.  Mais le point noir reste le stationnement, où des jeunes brigands, gourdin en main, imposent une dîme de 100 DA sur la corniche, et 50 DA au centre-ville sous peine de voir son bien saccagé. N’est-ce pas là une autre forme de mendicité par la force. 
Gaidi Mohamed Faouzi


READ MORE - Chetaibi : 2 décés

Chetaïbi a besoin d’opérer sa mue

mardi 26 juin 2012


Chetaïbi a besoin d’opérer sa mue

Par : Badis B.
En attendant sa grande toilette, l’antique Takouch offre aux habitants et aux visiteurs un paysage indigne de sa réputation.

Début raté d’une saison estivale qui s’annonçait catastrophique pour le village paradisiaque de Chetaïbi (Annaba), l’un des plus beaux villages d’Algérie, fruit de l’une des plus belles baies au monde. L’une des raisons majeures de ce gâchis : l’insalubrité. 
Tout simplement, aujourd’hui, l’insalubrité règne à Chetaïbi. La situation de l’hygiène du milieu est, ainsi, déplorable. Certains élus sont les premiers à le reconnaître. 
En effet, en ce début de saison estivale, l'hygiène du milieu fait malheureusement grandement défaut à Chetaïbi, au grand désarroi des premiers estivants et de la population, qui ne trouvent aucune explication à cette situation. Cela concerne, pratiquement, toutes les plages ouvertes à la baignade, surtout au niveau de celle de la ville. 
Elles sont dans un état, le moins que l'on puisse dire, d’insalubrité totale. Le constat est amer : avilissant, jonchées de toutes sortes de détritus (débris de verre, tessons de bouteilles, boîtes de conserve en plastique, troncs d’arbres). 
En réalité, l’impression du laisser-aller et de l’abandon se dégage dès que le visiteur accède au village, qui se trouve bel et bien dans un état hideux et désolant à la fois, avec des tas d’ordures jetées dans tous les coins. 
Une semaine après l’ouverture de la saison estivale, on ne peut parler de salubrité ni de conditions acceptables d’accueil des vacanciers. L’ex-Herbillon de l’époque coloniale n’est rien moins qu’un cloaque où s’entremêlent les détritus de tout genre, agrémentés par les tessons de bouteilles d’alcool, qui jonchent les plages, témoignant ainsi de “soirées de beuverie”. Les baigneurs rencontrés s'interrogent sur l'absence totale des autorités de la ville où l'on signale également des bagarres rangées entre des groupes d'individus du côté des pavés du port.
Mieux encore, cette infrastructure portuaire   qui était, il n'y a pas si longtemps, le temple des touristes durant les soirées d'été est aujourd'hui aux mains des toxicomanes qui règnent en véritables caïds. Les habitants interrogés sur la situation peu reluisante que vit le village pointent un doigt accusateur en direction des autorités et élus, selon eux, “totalement déconnectés et surtout obsédés par le foncier”. 
Un jeune chômeur du village a tenu à dénoncer le manque d'intérêt dans ce domaine affiché par les pouvoirs publics. “Au moment où d’autres régions développent un nouvel esprit pour attirer le maximum de touristes, à l'image de nos voisins de la Marsa, ce n'est pas le cas malheureusement pour Chetaïbi, qui est totalement en déphasage dans ce domaine”, a-t-il dit. D'autres soulèvent le manque d'investissements conséquents susceptibles de sortir leur village de l'anonymat. Ils affirment qu'en matière de tourisme, Chetaïbi est en chute libre. Le manque d'infrastructures (hôtels et restaurants) se fait énormément sentir. 
Les touristes n’ont à leur disposition, en fait, que les locations d’appartements, hors d’atteinte d’ailleurs pour beaucoup d’entre deux. Ce déficit est l'une des raisons d'ailleurs qui poussent les vacanciers  à aller voir ailleurs, selon les villageois, qui indiquent que le nombre de touristes est chaque année revu à la baisse sans que les concernés et responsables du secteur osent tirer les conclusions pour freiner cette décadence. 
En attendant sa grande toilette dont elle a grandement besoin, l’antique Takouch, offre aux habitants et aux visiteurs un paysage indigne de sa réputation. 
Vue de l’extérieur, la commune de Chetaïbi, avec sa merveilleuse baie, est un petit Eden. Vue de l’intérieur, elle incite à tirer la sonnette d’alarme. Chetaïbi mérite un meilleur sort… et de meilleurs gouverneurs.

B. B

READ MORE - Chetaïbi a besoin d’opérer sa mue

Chetaibi : Coup d'envoi de la saison estivale C’est parti !

vendredi 15 juin 2012


Chetaibi : 

Coup d'envoi de la saison estivale C’est parti !

Chetaibi - Annaba : la relance de la saison estivale


l

http://www.elwatan.com/regions/est/annaba/c-est-parti-14-06-2012-174630_133.php
La wilaya semble avoir mobilisé tous les moyens pour assurer un bon séjour à des vacanciers, qui aspirent beaucoup plus à la sécurité.

Les amoureux de la baignade en mer n’ont pas attendu le coup d’envoi officiel de la saison estivale pour investir les plages de la Coquette. Nombreux étaient les estivants à s’y rendre depuis fin mai et début juin. Certains d’entre eux ont même installé des tentes pour y passer la nuit.  Samedi dernier, la magnifique plage Rizzi Amor, ex-Chapuis, a accueilli la cérémonie officielle d’ouverture de la saison estivale en présence d’estivants, et  d’associations culturelles et sportives ainsi que des troupes musicales venues des douze communes  de la wilaya.
Défilé coloré auquel ont pris part des jeunes et moins jeunes, dans un même élan de fierté, expositions d’objets artisanaux, ont marqué le coup d’envoi de la saison estivale avec l’organisation d’une soirée artistique qui a permis à l’association Ichraq Bouna, à l’artiste Sofiane Adouani et Cheb Amir d’épater le public avec leur genre musical. Les comédiens Pipo et Rabiae ont été également de la fête en  se produisant en fin de soirée, à l’instar de  Cheb Djamel Merah qui excelle dans le genre moderne.  Une vingtaine de plages de la corniche annabie et des villes côtières de Chetaïbi, de Seraïdi et de Sidi Salem, autorisées à la baignade, ont commencé  à accueillir dès le début de ce mois de juin, les premiers estivants en quête de fraîcheur et de détente, en attendant le grand rush prévu en juillet prochain avant l’arrivée du mois sacré.
Le dispositif de surveillance des plages autorisées à la baignade a été lancé avec le recrutement de plus de 120 agents  saisonniers qui viendront renforcer les plongeurs professionnels et des équipes d’intervention et de secours.
Outre la réactivation de deux postes avancés de contrôle et de prévention  dans les plages Rizzi Amor et Aïn Achir, au chef-lieu de wilaya, des ambulances et embarcations, font partie également du dispositif destiné à accompagner  les baigneurs sur les plages, en particulier celles de la corniche, réputées  pour leur forte affluence en été.  Des  soirées artistiques ont été programmées au théâtre de plein air et dans d’autres endroits de la Coquette, ainsi que dans les villes côtières de Chetaïbi, de Sidi Salem et  de Seraïdi et ce, à la grande joie des campeurs et des familles en quête de  détente et de repos.           
Tewfig G.
READ MORE - Chetaibi : Coup d'envoi de la saison estivale C’est parti !

Chetaibi : Le Monument aux Morts : 1950

mardi 12 juin 2012

Une autre vision du monument aux morts dans les années 50.
En arrière plan nous voyons l'église qui aujourd'hui est remplacée par la Mosquée.
Merci pour vos visites et vos commentaires
READ MORE - Chetaibi : Le Monument aux Morts : 1950

Chetaibi : La Salle des Fêtes

dimanche 27 mai 2012

Chetaibi : Cette photo manquait à la série des Anciennes Photos.
Certains "anciens" apprécieront, je fais partie de cette génération... aie, aie quand la nostalgie revient. Certains se rappelleront que des films ont été diffusés, des pièces de théâtre, des mariages aussi comme aujourd'hui...
READ MORE - Chetaibi : La Salle des Fêtes

 
 
 

Messages les plus consultés

Tir et Gagne des points